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 L'orage qui gronde [PV Harold]

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MessageSujet: L'orage qui gronde [PV Harold]   L'orage qui gronde [PV Harold] EmptyLun 25 Avr - 21:17

La nuit était parfaite. Chaude, oppressante, l’air lourd et l’atmosphère fébrile… Astrid leva la tête vers le ciel gorgé de nuages denses, prêts à déverser leur rage d’un moment à l’autre. Un puissant coup de vent vint fouetter le visage de la jeune fille et lui emmêler les cheveux. Ses vêtements, dans l’air moite de la nuit, lui collait au corps. La jeune fille sourit : ce soir, il y aurait de l’orage. Elle aimait bien les orages. Surtout ceux l’été. Surtout ceux la nuit quand la pluie était aussi chaude que l’air, que des torrents tombaient du ciel et s’abattaient avec fracas sur le sol dans une symphonie liquide. C’était joli, le bruit de la pluie qui tombe. Comme une musique. C’était agréable aussi, de courir pieds nus dans l’herbe, aveuglé par l’ondée alors que tout autour, les éléments se déchainaient. Un bon orage, pour laver le monde de toute la crasse et repartir à neuf.

Malheureusement, cette fois-ci elle devrait se retenir d’aller se promener sous l’averse, parce que quoi, c’était difficile de courir pied nus dans l’herbe quand on était en haut de la tour d'observation. Tout à l’heure, alors que la plupart de ses compagnes de dortoir dormaient, elle s’était faufilée en dehors du dortoir des plumentines, à pas de loup, sans un mot, sans un son, comme à presque chaque nuit. Voyant les nuages s’entasser dans le ciel, sentant l’air s’électrifier, elle était montée, subrepticement, se poster en haut de la tour d'observation. Place de choix pour un spectacle de choix. Elle trouvait dans le silence bruyant de la nuit, un réconfort indescriptible, exaltant et espérait impatiemment pouvoir observer, à défaut d’étoiles, la flèche étincelante de quelques éclairs.

Elle s’accouda à la balustrade et respira un bon coup l’air saturé, puis laissait le laisse s’échapper de ses poumons en un souper rieur. Elle était bien, elle était libre, il faisait chaud, c’était la nuit, il y aurait de l’orage. Quel bel amalgame de choses qu’elle aimait! Elle se laissa glisser doucement sur le sol de pierre, agréablement rafraichissant dans cette nuit moite et étouffante et se mit à attendre. Quoi? Elle ne le savait pas vraiment. Le début de l’orage sans doute, ou encore la venu de Véga, sa chouette effraie qui avait comme manie, dès que la jeune fille sortait dehors, de toujours venir se percher à ses côtés (parfois, au grand dame d’Astrid, pour y dévorer son souper constitué de souris et de mulots frétillants). Elle ne comprenait d’ailleurs pas comment le volatile pouvait la localisé ainsi à chaque fois qu’elle sortait le bout du nez… de la vrai sorcellerie!

Ce soir, cependant, la chouette ne vint pas. L’orage avait du la dissuader. Astrid passa donc un long moment, complètement seule, contemplative, perdue dans ses pensées. Ce fut le picotement des gouttes d’eau qui commençaient à tomber puis à glisser le long de sa peau, sur son visage, son cou, puis ses bras et ses jambes qui la sorti de la douce torpeur où elle était plongée. Puis, petit à petit, le murmure crépitant de la pluie s’écrasant sur les dalles de pierre se fit grandissant, grondant. Astrid sourit, tourna son visage vers le ciel et tira la langue. Quelques gouttelettes tièdes vinrent s’y poser. Tout occupée qu’elle était à savourer l’ondée, elle n’entendit pas tout de suite le bruit. C’était un bruit lointain, indistinct, mais régulier, qui venait s’ajouter au murmure de la pluie qui tombait. Elle ne comprit pas tout de suite de quoi il s’agissait. Puis le bruit sembla se faire plus proche, jusqu’à parvenir très distinctement à ses oreilles. Un bruit de pas. Mais pas n’importe lequel. Le bruit de ses pas. Elle aurait pu le reconnaitre entre tous. Dans ce son régulier, elle voyait de grandes enjambées, une démarche légèrement gauche et chaloupée, un pied qui pose délicatement ses orteils sur le sol, comme pour tâter le terrain, vérifier que tout était adéquat, à sa place, puis le talon qui suivait, sur de lui, volontaire. Un pas reconnaissable entre tous pour qui sait écouter convenablement. Une pression sur le sol particulière. Le pas d’Harold.

- Salut Harold, dit-elle calmement, avant même qu’il n’ait franchit le seuil de la porte.

Après avoir dit cela, elle se hâta de retourner à sa position initiale : menton relevé, langue sortie prête à happer au passage les gouttes d’eau rafraichissantes.C’est dans cette position, recroquevillée sur elle-même, en haut de la tour d’astronomie qu’il la découvrit. Elle souri intérieurement en pensant à ce qu’il devait se dire mentalement, mais n’osait dire à haute voix de peur de paraître déplacer. Harold était un garçon poli. Elle aimait beaucoup Harold. Elle se demandait cependant, ce qu’il pouvait bien venir faire ici, en haut de cette tour et à une telle heure surtout. Jouait-il à être Véga la chouette?

- Salut Harold, que fais-tu ici, en haut de cette tour, à une telle heure surtout?

Au moment où elle achevait de poser cette question, comme pour la ponctuer, un éclair gigantesque, magnifique, vint zébrer le ciel, aussitôt suivit par un tonnerre assourdissant. Elle continua de fixer l’horizon, attendant la réponse du garçon.

- L’Orage est tout proche, cria Astrid pour couvrir le bruit du vent qui s’était levé et semblait ne plus vouloir s’arrêter d’hurler à leurs oreilles.
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MessageSujet: Re: L'orage qui gronde [PV Harold]   L'orage qui gronde [PV Harold] EmptyMar 26 Avr - 16:22

La nuit était tombé depuis un long moment déjà. L'atmosphère avait été lourde et humide tout au courant de la journée et Harold avait profité de cette ambiance fatigante pour se coucher un peu plus tôt qu'il ne l'aurait fait normalement. Il avait trainé son grand corps jusqu'à son lit pour s'y laissé lourdement tomber, appréciant la fraicheur momentané de ses draps. Malheureusement, toutes bonnes choses ayant bien entendu une fin, le plumentine se retrouva très rapidement à rouler dans son lit. Il s'était d'ailleurs rapidement départie de ses vêtements, se retenant à grand peine à ouvrir les rideaux de son lit pour ensuite ouvrir les fenêtres et se laisser tomber du haut de la tours, simplement pour avoir un peu de vent vrai...

Bien sur il ne le ferait pas, mais une idée vint alors se pointer dans son esprit. La nuit était jeune encore et visiblement, Harold ne réussirait pas à fermer l'œil tant qu'il ne serait pas rafraichit les esprits. D'un geste lasse, un ouvrit ses rideaux, empoignant une chemise qui trainait et un pantalon, ses cheveux frisés dans tous les sens, légèrement collé contre ses tempes moites. Dans son dortoir, la respiration de ses compatriotes se faisait lente, la salle était sombre et le jeune homme se demandait comment diable les autres avaient pu réussir à s'endormir malgré une telle température. Laissant de côté ses interrogations sans réponse, il sorti aussi silencieusement que ses grands pieds le lui permettait de la salle, refermant derrière lui la porte en un grincement.

Il sorti de la salle commune aussi rapidement qu'il le pouvait, espérant pouvoir profité d'une brise fraiche que la nuit aurait pu apporter avec elle. Au comble de son malheur, Harold ne fut que cruellement déçu, lorsqu'en s'engageant dans un couloir à air ouverte, il ne sentit aucune brise le rafraichir. Il laissa lourdement tomber ses épaules et marcha d'un pas long et méthodique, tentant d'économisé le plus d'énergie possible tout en se déplaçant le plus efficacement possible.

Le jeune homme frisé leva la tête vers une des fenêtres, jetant un coup d'œil au ciel, curieux. Sans surprise il se découvrit sombre, démunie de ses étoiles étincelante. En pensant à cela il eu une soudaine envi de trouver Astrid. Il était pertinemment au courant que la jeune femme ne dormait pas, elle ne dormait jamais, et passer une partie de la nuit en sa compagnie ne serait certainement pas une perte de temps! Et puis... il était déjà réveillé. Inconsciemment les pieds d'Harold changèrent de direction. Sans avoir besoin de réfléchir le plumentine savait exactement où il pouvait retrouver sa compagne de toujours.

L'oreille à l'affut, les yeux perdu dans la pénombre des couloirs de l'université, Harold continuait de marcher d'un pas lent, montant les escaliers calmement, les yeux au plafond, l'esprit ailleurs. La chaleur persistante faisant coller contre son corps sa chemise. Harold soupira bruyamment, espérant bientôt arriver en haut de la tours d'observation. Alors qu'il lui restait quelque pas à faire dans un minuscule couloir adjacent la tours, une voix clair s'éleva dans l'air, le faisant sourire:

« Salut Harold »

Le jeune homme frisé s'étonna puis sourit en arrivant finalement à la porte de la tours. Par terre, assise contre un petit mur de la tour, Astrid était installé sous les petites gouttes naissante que le ciel laissait tomber sur elle. La langue sortie à la quête des goutelettes rafraîchissante, Astrid donnait un bien drôle de tableau au grand frisé.

«Salut Harold, que fais-tu ici, en haut de cette tour, à une telle heure surtout?»

Alors qu'Harold s'apprêtait à répondre quelque chsoe de particulièrement stupide à Astrid, un éclair vint le déconcentrer dans sa tirade et une bourasque de vent vint s'engouffrer dans sa chemise maintenant humide, le faisant frissonner de bonheur. Il baissa la tête, quelque instant pour observer la jeune femme, s'apprêtant à lui répondre une nouvelle fois, mais la jeune femme le coupa court, une fois de plus, et s'écria a travers le vent et la pluie :

«L’Orage est tout proche»

Harold sourit, amusé et lança sur un ton enjoué :

« Rentre ta langue jeune fille, ou tu avaleras bien plus que des goutelettes d'eau!»

Pui il reporta son attention sur l'orage. En effet, le vent leur fouettait le visage rendant une conversation bien difficile lorsque l'ont se trouvait à plus d'un mètre de notre interlocuteur. Donc, en bon garçon poli de vouloir préserver la voix de son amie, Harold s'approcha en deux pas d'Astrid, prenant place par terreà ses côtés et levant à son tours les yeux au ciel. Les goutellettes d'eau tombait contre les vitres de ses lunettes, l'empêchant de voir clairement.

Amusé, il se retourna vers la plumentine, s'armant de son meiller sourire stupide, les yeux rieur caché derriere l'eau accrocher à sa monture.

«Ne suis-je pas charmant ainsi?»

Soudain dans le ciel, une éclaire s'abbatie à quelques mètres d'eux. Étonnant, perturbante, mais surtout hypnoptisante. Harold releva les yeux au ciel. Rafraîchit, satisfait, et l'air toujours stupide, les lunettes couvertes de goute d'eau, le jeune homme détourna son regard son magnifique tableau pour porter ses yeux vers Astrid :

«J'allais te demander ce que tu pouvais bien faire ici... mais la question ne se pose pas vraiment... Tu as senti l'orage arriver?»

Il étendit les longues jambes devant lui, laissant la pluie s'infiltrer dans ses vêtements et reposa sa tête contre le mur derriere lui et soupira d'aise. Cette pluie était une bénidiction. Agréablement confortable ainsi et quelques centimètres d'Astrid, il sourit et lui demanda :

«Alors mon Astéroïde, qu'as-tu à me raconter?»

Les boucles de ses cheveux trempé et dégoulinant sur lui, les yeux asbent de son visage, derriere ses lunettes, et un large sourire fendant son portrait en deux, sa petite barbe de deux jours humide, Harold devait être particulièrement drôle a regarder... Et si l'ont mêlait a son tableau Astrid, la scène aurait du paraître particulièrement amusante de loin.

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MessageSujet: Re: L'orage qui gronde [PV Harold]   L'orage qui gronde [PV Harold] EmptyDim 1 Mai - 16:35

Un corps auréolé d’un halo phosphorescent se découpait dans l’embrasure de la porte de l’observatoire. Harold était maintenant parvenu au haut de la tour et sa silhouette immobile paraissait à contre-jour. La jeune fille devina qu’il souriait. Elle l’imita intérieurement, tout en reportant son attention sur le ciel, accablé de nuages pleins d’une rage sombre qui se déversaient en chaudes larmes venant s’écraser en un clapotis sonore sur les alentours. Dans la chaleur pesante de la nuit, cette pluie, toute déchaînée et violente qu’elle soit, était la bienvenue. Astrid le menton relevé, sentait les gouttelettes s’écraser précipitamment sur son visage, lui dispensant quelques parcelles de fraicheur momentanée. À travers le tumulte du vent, de l’averse, du tonnerre et des éclairs, la jeune fille entendit le garçon faire deux pas en sa direction puis s’exclamer d’un air moqueur qui semblait étrangement incongrue dans le tumulte ambiant:

- Rentre ta langue, jeune fille, ou tu avaleras bien plus que des gouttelettes d’eau!

Cette fois-ci, Astrid n’y tint plus et détourna son visage du ciel pour pouvoir mieux observer son compagnon. Les cheveux encore plus bouclé qu’à l’habitude (si cela pouvait être possible) à cause de l’humidité, le visage qui s’étirait dans un sourire espiègle et son corps démesurément grand : Harold était hilarant. Sa physionomie, toute attachante qu’elle soit, semblait à la fois caricaturale et déplacée. Comme un objet étrange qu’on aurait échappé par mégarde au mauvais endroit. Dans la vie de tous les jours, Astrid aimait Harold car il correspondait précisément à cela. Mais ici, en ce très exacte moment,il semblait être l’emblème même de l’incongruité. Cette pensée, pour une raison qui ne tenait qu’à elle, emplie Astrid d’une joie sereine. Comme un sourire intérieur qui partait du plus profond du ventre et diffusait une paisible allégresse dans le reste de son corps. Elle eut l’impression de rayonner et ne put retenir un grand éclat de rire qui quitta sa gorge pour aller se perde, carillonnant, dans les confins du ciel brouillé. Elle était contente qu’Harold soit là. Elle le lui dit : «Je suis contente que tu sois là» et il vient s’asseoir à ses côtés son grand corps se mouvant soudainement avec une étrange fluidité. C’était une bonne idée qu’il vienne à ses côtés. Ils s’entendraient mieux parler.

Ils restèrent pourtant quelques instants silencieux, dans une douce torpeur contrastant avec le vent qui hurlait à leur oreille et la pluie qui tambourinait. Cette dernière s’était d’ailleurs attaquée avec empressement aux lunettes du garçon, qui semblait vouloir en rire, plus qu’en être agacé.

«Ne suis-je pas charmant ainsi?»

Les cheveux maintenant plaqué sur le crâne, mis à part quelques boucles récalcitrantes qui s’entêtaient à se tordre dans tous les sens, les lunettes dégoulinantes de pluie tiède et le sourire étiré jusqu’aux oreilles, Harold avait bel et bien quelque chose d’attendrissant. Pourtant, la réplique n’eut pas l’effet attendu, si effet attendu il y avait. Astrid se contenta de hocher la tête avec un sourire vague et incertain. Cette phrase, pour une raison qui échappait à la jeune fille, plutôt que de l’amuser réellement, l’avait plutôt mise mal à l’aise et elle ne savait en identifier la cause. Elle s’interrogea quelques instants, avant d’être brutalement tiré de ses réflexions par la leur stridente d’un éclair et le roulement grondant, assourdissant du tonnerre qui l’accompagnait. Son cœur fit un bond en parfait synchronisme avec l’éclat sonore et elle perdit aussitôt le fil de ses pensées. Impossible de mettre de doigt sur ce qui l’avait troublé. L’orage faisait tabula rasa de ces tourments et inquiétudes. Le bonheur refit tout naturellement surface et elle ressenti à nouveau l’agréable bien-être irradier au creux de son ventre.

«J'allais te demander ce que tu pouvais bien faire ici... mais la question ne se pose pas vraiment... Tu as senti l'orage arriver?

- Oui. En fait non… Je ne dormais pas. Je ne dors jamais, tu le sais. Et je n’avais pas envie de passer la nuit à me tourner et me retourner dans mon lit inutilement. Je serais peut-être aller travailler à mes chaudrons, mais quand j’ai vu le ciel plein de nuage, j’ai préféré sacrifier mes vieilles casseroles à la liberté de l’infini stellaire. Mais je ne reviendrai pas là-dessus, tu sais déjà à quel point j’aime les orages.

Elle sentait le corps chaud d’Harold, un coude ou une épaule qui la frôlait parfois pendant une fraction de seconde, la chatouillant alors qu’elle parlait. La pluie froide qui ruisselait au creux de sa clavicule, s’introduisant dans sa bouche et sur sa langue tandis que les mots en sortaient, la nuit qui l’entourait de ses bras moite, le sentiment que le temps s’était figé et qu’elle resterait en cette nuit d’orage en haut de la tour en compagnie de son meilleur ami pour toujours… Cette pensée la réconforta.

«Alors mon Astéroïde, qu'as-tu à me raconter?»

Elle aurait voulu lui dire tout ce qu’elle ressentait, tout ce qui l’habitait depuis le début. Combien elle trouvait agréable cette nuit et sa présence à ses côtés, comment le monde semblait si plein d’aventure et de promesses de découvertes à venir, mais elle ne parvint pas à mettre des mots sur ce qu’elle ressentait. L’émotion devait faire trop partie intégrante de son être pour qu’elle puisse s’en détacher en des phrases pastiches. Elle se commença donc par baragouiner quelques mots et syllabes incohérentes, piètre effort de traduction sentimentale, avant de se mettre à rire elle-même du charabia que faisaient naître ses cordes vocales, mais aussi un peu pour chasser son embarras.

« Tu m’excuseras mon cher, il semblerait que je sois atteinte d’un sortilège de babillage momentané et que je me mette parfois à dire n’importe quoi. Soit prévenu. »

Pour faire rire son ami et pour étoffer ces dires, elle rajouta expressément quelques «ahgruumpphhjjuii» et autres «chrakabumoungo» sans queue ni tête.

«D’ailleurs, si je me mets à te traiter de gigantesque mollusque niais amateur de ces idiots de moldus, ce n’est ab-so-lue-ment pas de ma faute je tiens à le préciser. Il faudra accuser celui ou celle qui m’a jeté le sort, bien évidement».

La jeune fille retint difficilement un fou rire, attendant la réaction de son ami, prête à parer une éventuelle attaque.
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