Je commencerai ce topic en évoquant un couple qui n'en est (pour le moment ?) pas un, mais qui me fait pourtant irrémédiablement penser aux héros de la plus célèbre histoire d'amour du théâtre, à savoir Roméo et Juliette. Il s'agit de Csilla Winterl et d'Andràs Eberfeld. Famille ennemie, haine programmée, rien n'y manque. Les Winterl et les Eberfeld semblent se haïr aussi méthodiquement que les Capulet et les Montaigu se haissent. Et s'ils semblent, contrairement aux héros de Shakespeare, coopérer aux vieilles rancoeurs familiales, on peut se demander s'ils tiendront longtemps. Leur sujet dans le Placard à Balais montre des failles dans le système, et les souvenirs de leur amitié d'enfance restent, malgré eux, vivaces. Un soupçon de Paul et Virginie dans leur version de Roméo et Juliette, peut-être.

Roh mauvaise langue ! Le pauvre bougre est juste en mal d'affection X3 !

Je doute que la relation entre Malloy et Amanda puisse être qualifiée d'amourette... Plutôt le coup d'une nuit, je pense. 'Amourette' sous-entend quelque chose d'autre qu'une attirance purement sexuelle, non ?

AHAH et c'est pareil pour moi. Il me faut d'abord un Roméo adapté ^___^

Pourquoi pas?

Aaaah l'amour ! ^^

C'est comme demander à une inconnue d'aller au bal...

Je me demande si Hélios voudrais bien... Ou Adélice tout autant.

(Je répond sous Louise, flemme de me co' avec Adé XD)

Why not Garth, why not 8D.

D'accord Johnny =) Je vais essayer de te répondre dès que possible mais ça risque d'être plus long que d'habitude, j'ai pleins de contrôles et je suis pas sur mon ordi mais peut-être que je pourrai répondre demain.

Signalons l'éclatant retour de Nathan Britton, plus prêt que jamais à séduire l'impulsive Gabrielle E. Dimitrov, qui n'est visiblement pas de cet avis ... Comment ça, séduire n'était pas le mot ?
On peut noter aussi, l'arrivée d'un nouveau tombeur, un certain Tao Lyngheid : Qui tombera la première sous son charme viril ? Des rumeurs courraient à propos de la célèbre tombeuse Mani Leverenz, qui semble prête à ouvrir les jeux.
Quant à Lénaïg Lyngheid, elle semble s'être mise pour but de fricoter avec toute la bande des cinq plumes EDIT : En fait, juste Ted, Andrew, Mélite, et plus récemment Adélice.
C'est quoi cette famille, je vous le demande !

Ce topic se meurt. L'Université ne manque pourtant pas de potins, hmm … Allons, allons. Relançons tout ça. Soufflons sur cette pellicule de poussière qui recouvre nos vieilles photos jaunies par l'oubli. Les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publiques, bancs publiques, bancs publiques … ~ 

Tout d'abord, signalons qu'Andrew McAllen a réussi une fois de plus à mettre le grappin sur Mani Leverenz. La première fois, c'était pour faire chier Elias, la seconde était pour moi. Mais j'm'en suis remis, fort heureusement.
Nous avons ensuite un nouveau couple à problèmes, qui n'est pas exactement un couple. Jade des Oraisons et Blanche d'Esterel semblent mal vivre leur proximité. Et tandis que Jade joue de ses charmes aux côtés de Mélite d'Orcy, Blanche se laisse aller aux bras d'Alex Adams, Andrew McAllen et plus récemment Lénaïg Lyngheid. L'un vit mieux que l'autre la séparation, visiblement.
Notons aussi que Gabrielle Elisabeth Dimitrov en est à son troisième plume et progresse à une vitesse peu au goût de Mélite d'Orcy. L'amour qu'éprouvent mutuellement les deux jeunes femmes suffira-t-il à freiner ces histoires sans lendemains ? En attendant, elle se fait courtiser par Alex Adams, suçonner par Andrew McAllen et embrasser par Elias Jensen. Tous ont bien entendu reçu quelques poings en réponse. Une vraie course.
Enfin, je vous épargne les détails concernant l'affaire Elizabeth/Alex, qui ne durera certainement pas. Le jeune homme est trop occupé avec les autres filles, et la charmante Lizzie ne se prive pas de le tromper pour d'autres lèvres - du genre les miennes. Qu'en sera-t-il de leur soirée ?
Pour ce qui est de Mani Leverenz et Tao Lyngheid, l'affaire stagne. Je prends les paris, concernant la chute de l'histoire.
De même, Ekzael Anhkïr semble n'arriver à rien avec son oiseau Eleiakin Dreamtrue. Après des mois de guimauveries, les deux jeunes gens se sont sans doute dégoûtés l'un et l'autre.
Que dire, encore … Que dire … Ah. Andrew McAllen ne fait toujours pas dans les hommes, mais l'affaire progresse. Lentement mais sûrement.
Sur ce, j'ai une Maïakovski sur la planche

Alex Adams a écrit:

Comme d'habitude, Andréas est à côté de la plaque. Il faut croire que la frustration finira par le tuer. Mani, arrête de lui voler ses hommes, il commence à le vivre très mal. Quoi qu'il en soit, je corrige. Veuillez noter qu'au contraire, la merveilleuse Elizabeth Dashwood et moi formons désormais officiellement un couple. ...

Avec toutefois plus de réserve et de pudeur, encore une fois, je confirme, même si je suis persuadée qu'au moins la moitié de l'université est déjà au courant...

(Et mes lèvres, las!, ne se mêleront plus à celles d'Andréas... et ne mordront plus jamais d'oreilles!)

J'annonce ici et maintenant qu'Andréas est parti se pendre.

Des centaines d’étudiants coincés pendant deux mois dans le même château, et en période d’été, en plus, vous imaginez bien que ça enflamme les esprits. Et les corps. Il est temps, donc, que je me charge aimablement d'un petit récapitulatif.

Si vous trouviez, et vous trouviez forcément, qu'Eleiakin Dreamtrue devait avoir un sérieux problème, pour s'intéresser à Ekzael Ahnkïr, dont la prétention effarante est égale à l'absence totale de séduction, soyez rassurés, notre petite sainte nitouche est désormais guérie. La solution est radicale, il est vrai, puisqu'elle l'a tout bonnement oublié, en même temps qu'une bonne partie de ses souvenirs. Les gens, je crois qu'Eleiakin vient de nous donner à tous la solution idéale pour rompre des relations pesantes. Rapide, propre, et sans bavure, je m'incline. Ekzael, quant à lui, semble le prendre plutôt bien, puisqu'il se plait de plus en plus en la compagnie de Yume Egashi. Les charmes du Japon sont définitivement indémodables.

Pendant ce temps, nos amis les Cinq Plumes donnent considérablement l'impression de perdre du terrain. Alors que Malloy Van Basten continue de fantasmer en vain sur votre servante, l'éblouissante Mani Leverenz, Elias Jensen n'a ajouté aucune fille à son compteur depuis un bon moment. Je le lui avais bien dit, au gamin, qu'il était comme une petite voiture. Marrant un temps, mais on a vite fait de le remplacer par un vrai modèle. Andrew McAllen, cependant, s'efforce de maintenir à flot à la réputation vacillante de sa bande de tombeurs. Non content de tourner la tête à Alyrah Leyume, la consolant au passage de la disparition d'Allister McCornwell, réussit la prouesse de commencer doucement à faire fondre la petite poupée religieuse Juliette Leroy. Entre deux ave maria, elle trouvera probablement le temps de montrer à Andrew qu'on peut connaître la Bible et les choses de la vie à la fois. En tous les cas, la brave enfant lui recoud déjà ses chemises.

Du côté des aristocrates, la vie est toujours aussi désespérément ennuyeuse. Voilà que le pauvre Eloy d'Ollenburg est officiellement fiancé à la glaciale Mélite d'Orcy. J'appelle ici toutes les filles compatissantes à s'occuper de lui, avant que le mariage ne l'éloigne définitivement de tout ce qui peut ressembler à une distraction. Un point à leur crédit, toutefois. Ils n'ont pas le mauvais goût de s'aimer.

Les directeurs ne sont pas en reste, puisqu'Alekseï Ivanov semble bien décidé à consoler sa collègue Celyn Creedpeur des récents évènements qui ont chamboulé notre université. Il y a fort à parier que cette nouvelle ne sera pas du tout de Nastassia Maïakovski, encore et toujours déterminée à le faire tomber dans ses filets, bien qu'elle vienne de faire la connaissance d'Ophiuchus Vostrokov, un nouvel étudiant à l'allure assez sombre pour éveiller l'intérêt de notre mage noir en puissance.

Notons également l'arrivée, parmi les enquêteurs, du séduisant Clint O'Stwood. A voir les étudiantes glousser sur son passage, on peut aisément supposer qu'elles prennent moins mal que prévu cet envahissement du ministère. Les garçons, pour leur part, regardent sans déplaisir la désagréable Sylvia Longteeth. Reste à savoir s'ils la trouveront toujours aussi jolie, après leur interrogatoire.

Quant à moi, je suis à présent en mesure de vous certifier qu'on surestime les talents de Tao Lyngheid.

Sur ces croustillantes informations, je rends l'antenne. A vous les studios.

Quel dommage que ce sujet semble sur le point de non-retour.
Il m'a fait bien rire

AHAHHA !! J'avoue que c'est plutôt *beaucoup* drôle!

Qui est-ce qui va le faire repartir sur la bonne voix

*ne lance absolument pas un regard vers Mani...*

J'y consens, pour les beaux yeux de Jack, et surtout parce qu'il y a du whisky dedans. Et d'ailleurs, je répare du même coup une erreur regrettable. Comment peut-on raisonnablement prétendre recenser les couples de Swyn sans faire allusion à l'histoire d'amour la plus passionnée et la plus ancienne qu'on y connaisse, à savoir celle qui unit le whisky et Mani Leverenz ? Mais sans plus attendre, voici en exclusivité, pour vous, les dernières fournées de vérités certifiées de notre petite université. Authenticité garantie. Pour toute réclamation, vous adresser à quelqu'un d'autre.

Alors que l'année dernière, le bal d'Halloween libérait toutes les pulsions animales de nos chères petites têtes blondes, brunes, et rousses, cette année, une réception d'un autre ordre semble se faire le théâtre de rapprochements plus ou moins attendus. Saluons tout d'abord la performance d'Andrew McAllen, au mieux de sa forme. Se faire soigner l'épaule par la faussement prude Gabrielle Dimitrov, complètement émoustillée par un torse nu que je confirme et qu'elle confirmera bientôt aussi ferme que nécessaire, et bénéficier des massages récurrents d'Ennis Lufkins ne lui suffisait pas, puisque le bougre s'est débrouillé pour être carrément le cavalier de son hôtesse, Calliope d'Elluage. Le même soir voit se concrétiser le désir naissant et réciproque, qu'ils appelleront probablement amour pour faire plus joli, d'Alister McFarlane et Eleanor Des Oraisons. Reste à savoir comment réagira le grand-frère, Jade Des Oraisons, quand il apprendra que la petite et prétendue sainte-nitouche soulève ses jolies robes pour un sang-mêlé dans des jardins français. Fort heureusement, il semble pour l'instant trop occupé à manigancer on ne sait quelles choses peu catholiques avec son ex, la fadasse Blanche d'Esterel. Décidément, l'habit ne fait pas le moine, à Swyn, et j'en veux pour preuve la docilité de Lyndis d'Evendim, à l'acidité pourtant bien connue, depuis le retour de son amour d'adolescence, Seamus Black, et la bonne volonté avec laquelle elle se prête à ce que nous appelerons des morsures nocturnes, toujours dans des jardins français à l'effet de toute évidence aphrodisiaque.

Mais quittons la France, et revenons à nos bons vieux moutons irlandais. Il se trouve qu'Andrew a des raisons, voyez-vous, de chercher à séduire pour cinq, puisque ses quatre potes ont complètement cessé d'entretenir leur réputation de coureurs de jupons invétérés qui battait, si vous vous souvenez bien, déjà légèrement de l'aile. Commençons par l'exemple le plus frappant, c'est le cas de le dire. La cote d'Elias Jensen est en chute libre, depuis qu'il a eu l'étrange bien qu'amusante idée de tabasser joyeusement Eloy d'Ollenburg en plein milieu de la grande salle. Le pauvre chou, semble-t-il, n'apprécie que modérément les fiançailles de celui-ci avec Mélite d'Orcy, qui, à la stupeur générale, aurait décidé de se payer un peu de bon temps avant de jouer les épouses. Elias, Mélite, voilà ce qu'il en coûte de vouloir faire un remake des Aristochats. La prochaine fois, soyez plus discrets. Quant au deuxième exemple, je ne peux vous en faire part sans rougir d'émotion, puisque je vous apprends en avant-première que Malloy Van Basten et moi-même entretenons désormais une relation durable et monogame, et comptons justement emprunter le manoir d'Orcy pour y organiser nos fiançailles en grandes pompes.

Ah, on me dit à l'oreillette que Derek Drachenherz et Lauréline McShane, deux petits nouveaux, n'auraient pas perdu de temps, et fricoteraient déjà. De plus en plus rapides, ces jeunes. De mon temps, on goûtait deux ou trois chocolats, avant de décréter lequel était notre préféré.

Je crois que notre série d'aujourd'hui touche à sa fin, mais elle ne serait pas complète sans une allusion à notre nouveau directeur, Albert Poulenard, dont les cinquante-sept ans ne semblent pas avoir refroidi les hormones, qui se planque en bas des escalier depuis son arrivée dans l'espoir qu'une descente trop rapide fera s'envoler les jupes d'une ou deux étudiantes, et qui, je le confesse avec une chaste et sincère indignation, s'est déjà permis de reluquer outrageusement mes courbes.

Tous en choeur, à vous les studios.

Tes deux post m'ont bien fait sourire, Mani