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 Il est temps d'aller de l'avant...

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Howard Cirenpompe
Commissaire d'Enquête
Commissaire d'Enquête
Howard Cirenpompe



 
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MessageSujet: Il est temps d'aller de l'avant...   Il est temps d'aller de l'avant... EmptySam 5 Fév - 0:22

Les flammes obsidiennes de l'Ouroboros
Il est temps d'aller de l'avant...

Longs furent les interrogatoires... Longues furent les journées à essayer de rassembler les morceaux, à essayer de comprendre, dans ce lot insignifiant des étudiants de cette université et dans l’ensemble des membres du personnel, qui aurait pu avoir un lien avoir l’attaque de l’Ordre de l’Ouroboros. Qui ? Tous ! Tous sans exception. Howard avait bien compris que la venue de la délégation du Ministère de la Magie avait été très mal prise et peu appréciée. Rares furent les interrogatoires qui se déroulèrent sans problèmes ni altercations. Les personnes qui firent preuve d’une totale coopération et d’une totale transparence n’étaient pas bien nombreuses non plus. Tous avaient quelque chose à se reprocher, il en était certain. Beaucoup trop de réponses évasives, de « Trois heures avant l’attaque ? Euh... je dormais. ». Ce « Euh » n’avait rien à faire là. Soit on dort, soit on ne dort pas, comment hésiter sur ce genre de question ? Oui, sa suspicion n’avait aucune limite me direz-vous, mais dans une enquête d’une telle ampleur, comment le lui reprocher ?

Après les interrogatoires des étudiants, Howard et ses deux collègues, Clint et Sylvia, se réunirent pour définir une liste de potentiels suspects. Des étudiants qui, de par leur dossier ou leur comportement durant l’interrogatoire n’avaient absolument pas convaincu. Ils se disaient victimes, mais l’étaient-ils tous, réellement ? Howard était convaincu que l’Ordre de l’Ouroboros ne pouvait pas être entré dans l’établissement sans aide intérieure. Et sur ce point, tout le monde était d’accord. Même la Direction de l’établissement, pourtant peu encline à faire des faveurs à la délégation ministérielle. Là encore, du côté des membres du personnel, le Commissaire d’enquête avait ressenti une certaine hostilité. Pourtant, ces hommes et ces femmes qui géraient l’établissement n’étaient-ils pas sensés aider au mieux l’enquête pour que celle-ci avance et qu’on arrive à comprendre comment ce drame avait pu survenir ? Si, bien sûr. Mais s’il en croyait Celyn Creedpeur et Alekseï Ivanov, les méthodes de la délégation n’étaient pas appréciées. Soit. Il passerait outre leurs commentaires ! Howard et ses collègues avaient donc interrogé tour à tour l’ensemble du personnel de l’université. Et là encore, après concertation, il y eut beaucoup de froncements de sourcils, beaucoup d’interrogations. C’était à croire qu’un grand-nombre de personnes avaient des choses à cacher ! Pourquoi refusaient-ils d’être clairs ? Pourquoi fallait-il qu’ils jouent de sous-entendus et de remarques cyniques ? Cela n’aidait en rien l’enquête...

Et puis, Sylvia était venue le prévenir. Le personnel enseignant avait démarré une enquête parallèle avec quelques contacts de l’Ordre du Phoenix. N’était-ce pas là scandaleux ! Alors quoi ? Il ne faisait pas suffisamment bien son travail ? Et pourquoi allait chercher des preuves à l’extérieur de l’établissement ? Il n’y comprenait rien. C’était bel et bien à l’intérieur, vu qu’aucun étudiant n’avait été autorisé à sortir, que se cachait la réponse. Oui, sûrement... Mais alors, pourquoi ce sourire entendu d’Erwan Valdas lors du dernier repas ? Pourquoi cette compassion à son égard, sur le visage de Chenoa Kalawei ? Le prenait-on pour un incompétent ?! Il savait pourtant ce qu’il faisait. Les propos contradictoires de deux étudiants avaient attirés son attention et lors d’un second entretien avec les deux concernés, il avait pu saisir des hésitations et une angoisse perceptible... Il n’était pas incompétent, il était sur une piste, et aux dires de Clint, les deux étudiants en question attisaient le doute par leur comportement dans l’établissement. Mais, peu de temps après, comme une bombe, ce « Nous pouvons vous annoncer que l’enquête touche à sa fin, que nos étudiants pourront partir pour des vacances bien méritées et que vous-même n’aurez plus à rester dans l’établissement » de la part des directeurs. Et les explications qui suivirent... effectivement. Il avait du faire une erreur. C’était difficile à admettre, très difficile. Cela entachait son image. Ce n’était pas bon, mais il n’était pas fini. Sa piste s’éclaircissait de plus en plus.

« Très bien. Donnez-moi un jour de plus et je pourrais vous désigner, de mon côté, grâce à qui et comment l’Ordre a pu entrer dans l’établissement. »


Ah ah, ils faisaient moins les fiers, là ! Les visages sceptiques des directeurs, le regard noir de Celyn Creedpeur, le visage surpris de Chenoa Kalawei... tous doutaient de lui. Il allait leur montrer. Le soir même, il appela ses deux suspects. Le premier arriva la tête basse, le second du être retrouvé par Sylvia, seul et caché dans un coin de la rivière souterraine, à chercher visiblement un moyen de sortir. Les deux jeunes hommes - car ils s’agissaient bien de deux jeunes hommes - furent très bavards, une fois le Veritaserum avalé sous la menace. Il faut bien se permettre quelques écarts pour que la vérité éclate. Les choses furent alors très rapides...

.................................................................................................................................

Le lendemain midi, dans la Grande Salle.

Les étudiants n’étaient pas dupes. Lassés, énervés de devoir rester dans cet établissement alors que l’attaque était toujours présente dans les mémoires, agacés d’être pris pour cible par cette délégation ministérielle venue de nulle part... ils n’étaient pas dupes, ils avaient bien remarqué que depuis quelques jours, les directeurs tout comme les enquêteurs semblaient soucieux, préoccupés par bien des choses. On parlait aussi de deux étudiants de CAM, l’un de Cinnacrow, l’autre de Plumentine, qui avaient été appelés à plusieurs reprises dans le bureau du Commissaire d’enquête. On était tout sauf dupes, à S.W.Y.N, surtout depuis que la méfiance s’était faite plus grande et que l’ensemble des étudiants restants se retrouvaient en une seule tour. Le moindre fait était su, la moindre rumeur pouvait prendre une ampleur dramatique. C’était une période très difficile à vivre, tant pour les étudiants que pour les membres du personnel, qui faisaient de leur mieux pour contenir toute cette tension. L’établissement de S.W.Y.N n’avait jamais été aussi étouffant. L’asphyxie était collective, jusqu’à ce soir-là.

Le dîner fut servi dans une ambiance étrangement silencieuse. Un peu trop, même. Les différents membres de la direction se jetaient des regards appuyés, attendant de voir quand est-ce qu’Howard Cirenpompe leur adresserait enfin la parole. Mais l’homme était du genre à ménager ses effets, c’était bien connu. De son côté, il jubilait. Ses petits yeux étouffés derrière ses joues bouffies lancaient des petites étincelles ravies. Sylvia et Clint, de leur côté, ne disaient rien. La première voulait juste que les différents morceaux de l’enquête soient reconstitués, afin que l’on sache enfin toute la vérité sur l’affaire. Le second, pour être honnête, souhaitait juste quitter l’établissement. Il avait beau avoir fait de son mieux pour se la jouer cool au cours des interrogatoires, les regards mauvais des résidents de l’université lui pesaient, vraiment. Il voulait que les choses soient mises au clair et qu’il puisse quitter les locaux poussiéreux de S.W.Y.N. L’air libre, se défouler un bon coup, allait boire un verre avec ses potes, voilà le genre de choses qu’il ferait, une fois l’affaire classée.

Howard savait que tous, à la table du personnel, attendaient qu’il se mette à parler. Lentement, il se servit un verre de vin, en but une gorgée et le reposa. Il tapota ses lèvres du bout de sa serviette et prit une grande inspiration.

« Bien. Je crois qu’il est temps de jouer carte sur table. Sans doute avez-vous repéré deux absents au dîner. »

Il prit une intonation innocente, comme pour mettre au défi les membres du corps enseignant de l’université. Inconsciemment, tous posèrent leurs regards sur la foule des étudiants, bien segmentés en trois tables, celles correspondant à leur maison. Non, ils n’y avaient pas fait attention. Le nombre d’étudiants, quoiqu’amoindri suite aux conséquences de l’attaque était toujours de plusieurs centaines, et ainsi assis à leur table, les maîtres de conférence ne voyaient guère de qui il pouvait s’agir. Ces derniers jours avaient été tellement éprouvants pour tout le monde... les étudiants s’étaient eux-mêmes constitués des « coupables ». La période des interrogatoires avaient été extrêmement dure. Tous voulaient rentrer chez eux, quitter ce lieu qui leur rappelait tant de mauvaises choses et profiter de leurs vacances, mais cela leur avait été interdit. Tous voulaient en finir avec tout ça, si bien que la moindre rancœur était une excuse pour s’accuser les uns les autres, faire courir des rumeurs... Il y avait eu beaucoup de débordements, beaucoup de bagarres et de duels à calmer. Alors non, deux absents...

« Je suppose que vous devez parler de Jerry Cormac et Augusto Felinus ? J’ai entendu dire qu’ils ont eu droit à plusieurs entretiens avec vous. »

La phrase avait fusé, percutante, dans le silence gênant qui commençait à s’imposer. Etrange et délicate Laneige Queejell, toujours là au bon moment. Discrète parfois, dynamique souvent, on pouvait dire qu’elle avait le sens de l’à-propos. Howard avait perdu son rictus narquois, si bien que Chenoa se tourna vers sa collègue avec un sourire ravi. Sous son sublime masque blanc aux fines décorations dorées, la directrice de Dorelly avait parfaitement su remettre le commissaire d’enquête à sa place, l’air de rien.

« Hum. Effectivement. Voyez-vous, ces deux jeunes étudiants de CAM sont les deux personnes ayant permis à l’Ordre de l’Ourorobos d’infiltrer l’établissement. Ils l’ont tout deux avoués hier soir. Jerry Cormac est apparenté à un membre de l’Ordre de l’Ouroboros. Ce dernier est entré en contact avec lui par lettre, trois mois avant l’attaque. Tout a été soigneusement planifié. Il semblerait que l’Ordre ait trouvé un très ancien document leur ayant permis de savoir que les barrières magiques au niveau de la rivière souterraine étaient plus faibles qu’ailleurs. »

Prenant son temps, Howard trempa une nouvelle fois ses lèvres dans son verre de vin, s’amusant intérieurement des froncements de sourcils et des airs surpris qu’il pouvait lire sur les visages lui faisant face. Ivanov et Valdas semblaient hésiter à prendre la parole, mais finalement, se résignèrent, attendant la suite des explications.

« Quant à Augusto Felinus, il s’avère que son arrivée en cours d’année n’étant en rien anodine. Peut-être avait-il un réel goût pour la recherche en divination, mais il la vérité est qu’il était avant tout un membre de l’Ordre de l’Ouroboros. Un tatouage sur le bas du dos nous l’a prouvé. Il a été envoyé pour faire la liaison et venir en soutien de Jerry Cormac, afin de s’assurer que tout serait mené à bien pour le jour J. Tout deux ont consciencieusement perturbé les barrières magiques de la rivière souterraine, progressivement, conformément aux instructions de l’Ordre. Le soir de l’attaque, ils se sont discrètement éclipsés de leurs dortoirs et ont attendu les mages noirs au niveau de la brèche préalablement formée. Les attaques consécutives du reste de l’Ordre en sont venues à bout. La suite, vous la connaissez. »

Déjà, un murmure commençait à s’élever de la table des membres du Personnel. Progressivement, les étudiants se turent, conscients qu’il se passait quelque chose, quelque chose dont ils ne pouvaient rien comprendre, de là où ils se trouvaient. L’agitation régnait du côté de la Direction. Celyn Creedpeur, l’air irrité, questionna sèchement :

« Et pouvons-nous savoir comment vous avez appris tout cela ?
- J’ai cru comprendre que la direction de S.W.Y.N avait ses secrets, disons que nous avons également les nôtres.
»

Autant vous dire que cette réponse ne satisfaisait en rien l’historienne, mais elle n’ajouta rien, maintenant son regard noir. Alekseï prit alors la parole :

« Un très ancien document avez-vous dit ? En avez-vous appris plus là-dessus ? »

Sylvia prit alors la parole, pour la première fois depuis le début du repas.

« Nous avons essayé, mais cela fut inutile. Les deux étudiants n’ont visiblement jamais été en contact avec ce document et les propos utilisés par l’Ordre pour l’évoquer sont demeurés très vague, si bien qu’ils n’en savent pas plus. Je pense qu’un tel document peut nuire à l’établissement, il vous faut rester vigilants.
- Les barrières de protection magiques de l’établissement ont toutes été refaites et repensées suite à l’attaque. Je pense que nous n’avons oublié aucun endroit, mais effectivement, je vais réfléchir à ajouter un procédé spécifique, il y a beaucoup à faire en matière de barrières magiques.
»

Déjà, Alekseï semblait parti dans ses pensées, préoccupé par ce qu’il venait d’entendre et par ce que cela pourrait engendrer par la suite, si c’était pris à la légère. Visiblement, sa question s’approchait de celle qu’allait formuler Erwan, si bien que les deux hommes se mirent à discuter protections magiques. Chenoa, de son côté, paraissait préoccupée. Elle hasarda :

« Êtes-vous certains que Jerry et Augusto étaient parfaitement conscients de leurs actes ? Ne serait-il pas possible qu’ils y aient été contraints d’une quelconque manière ? Vous êtes-vous renseignés sur leurs familles ? Comment savoir si aucun chantage ne leur a été fait ? »

Cette fois-ci, ce fut Clint qui s’exprima, après avoir redressé la chaise sur laquelle il se balançait jusqu’à présent.

« Augusto possède la marque de l’Ordre de l’Ouroboros sur le dos, comme il l’a été dit. Il était conscient de son rôle au sein de l’Ordre, et ce qu’il nous a dit ne laisse aucun doute. Il était pour une « épuration » de l’établissement, si je me souviens bien de ses propos. Jerry n’est certes pas un membre de l’organisation mais il a également participé de son plein gré à la préparation de l’attaque. Ses aveux ne laissent là encore aucun doute. »

Les propos de Clint O’Stwood non plus, à dire vrai. Si bien qu’Erwan ne put retenir un :

« ... Les stocks de Veritaserum doivent s’épuiser très vite, au sein du Ministère... »

Aucun des membres de la délégation ne releva la pique, et Alekseï enchaina ensuite.

« Donc, nous savons comment ils sont rentrés et qui les a aidé au sein de l’établissement... et de notre côté, nous pouvons également vous dire comment ils ont pu approché S.W.Y.N de manière si organisée et en si grand nombre. Avec quelques contacts de l’Ordre du Phoenix, nous avons établi tout un périmètre dans lequel ils auraient pu transplaner ou prendre un Portoloin. Les barrières magiques de S.W.Y.N s’étendant au-delà de notre domaine, le point d’attache le plus légitime ne pouvait être que Bourg-en-Bière. Des aurors en surveillance du village ont repéré une animation anormale à la porte Est du bourg. Agatha, la prétendue voyante avait décidé de quitter les lieux. Mais ils s’avèrent qu’une discussion avec cette dernière et une fouille de sa roulotte furent très instructives. Nul besoin d’user de potions... L’Ordre du Phoenix l’a amené. En réalité, quelques jours avant l’attaque, elle avait déplacée sa roulotte vers la forêt bordant le village par l’Est. Ce fut le point de rendez-vous de l’Ordre de l’Ouroboros. Elle y est affiliée, bien qu’elle nie une réelle participation. Il est très difficile de démêler ses propos... Mais différents signes nous ont permis de conclure qu’elle est à l’origine des portoloins qui ont permis aux mages noirs de s’enfuir, après l’arrivée des aurors le soir de l’attaque. Elle a elle-même avoué après s’être rétractée, mais différents sorts de détection magique nous ont permis d’en avoir la confirmation. Toutefois, elle refuse de nous indiquer quelle était la destination des portoloins, même si l’on s’en doute, ils ne devaient pas tous mener au même endroit... »

Consciencieuse, Sylvia avait sorti un carnet et avait noté les différents éléments apportés par Alekseï.

« Bien, je suppose qu’à l’heure actuelle, Jerry, Augusto et Agatha doivent être arrivés au Ministère... »

Il y eut un silence d’approbation que Celyn finit par briser.

« Le soir de l’attaque, les mages sont passés par le Lac du Connemara pour rejoindre la rivière souterraine. Là, Jerry et Augusto les attendaient au niveau de l’entrée de la rivière menant jusqu’à la Tour Plumentine... et nous savons désormais tout sur la manière dont les choses se sont déroulées. »

.................................................................................................................................

Oui, maintenant, ils savaient tout. Il restait à l’expliquer en quelques termes aux étudiants, de manière à la fois claire et concise. Malgré l’envie facilement lisible sur le visage de Howard, ce fut Celyn qui s’en chargea. Elle était bien plus à même de pouvoir exposer les faits aux étudiants de l’université qu’un commissaire d’enquête aigris, souhaitant simplement redorer son blason et s’attirer tout le mérite. Elle prit le temps de choisir ses mots, d’en dire suffisamment, sans en dire trop toutefois. Il fallait qu’ils comprennent combien tout avait été parfaitement préparé, combien la présence « d’infiltrés » au sein de l’université avait permis la réussite de l’attaque. Ils devaient également réaliser que la Direction avait fait de son mieux. Qu’effectivement, elle aurait pu faire mieux. Elle aurait pu renforcer les barrières magiques de la rivière souterraine. Elle aurait pu remettre en question l’arrivée d’Augusto Felinus en début d’année. Elle aurait pu. Aurait-elle du pour autant ? Les barrières avaient toujours tenu jusqu’à présent. Seules les barrières des différentes grandes entrées de l’établissement étaient « réactualisées » tous les dix ans, cela avait toujours convenu... jusqu’à présent. Quant à Augusto, il n’était pas le premier étudiant à arriver en cours de cursus ou même en milieu d’année. Il avait un excellent dossier, pourquoi auraient-ils dus être méfiants ? Devraient-ils refusés tous les étudiants souhaitant intégrer S.W.Y.N après de précédentes études supérieures ? Non, bien sûr que non.

Cela avait bien pris un quart d’heure, le temps de poser les choses, de bien les formuler, de faire face à leurs réactions. Il fallait que le message passe, qu’ils sachent que l’établissement était toujours aussi accueillant, aussi sûr, qu’une attaque de ce genre n’aurait pu être anticipée par personne, que personne n’a les yeux partout mais que désormais, ils prenaient actes. La mort, les blessures, le sang et les ruines n’étaient pas là en vain. On n’oublierait pas. On n’oublierait jamais. Et on ferait en sorte que rien de tel ne se reproduise.

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MessageSujet: Re: Il est temps d'aller de l'avant...   Il est temps d'aller de l'avant... EmptySam 5 Fév - 0:25

{Hors-RP : Ainsi se clôture l'intrigue de l'Ordre de l'Ouroboros. Vous êtes tous et toutes invités à répondre à la suite de ce message pour indiquer les réactions de votre personnage, si vous le désirez. Toutefois, n'oubliez pas que l'attaque de l'Ouroboros doit demeurer dans les mémoires de ceux qui l'ont vécu. Ce fut un incident assez traumatisant pour tous les membres de l'université, et cela doit continuer à faire écho tout au long du parcours des étudiants. Il y a eu des morts, des blessés à vie, cela ne peut pas être oublié d'un simple claquement de doigt. Des références à cette attaque surviendront très certainement à plusieurs reprises, par la suite.}
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